J'allais proposer ce sujet de réflexion ailleurs (Culture SF). Cela ne se fera pas. Le voici ici où il a moins sa place. S'il hameçonne vos réflexions, le fil restera en place; sinon il partira dans les limbes du WEB.
Citation: "Que le meilleur gagne" >>> Le propos est pessimiste quand on prend conscience qu'il ne devrait pas être tenu. Il sous-entend un rapport de force, un combat inéluctable, un vainqueur ... Goodbye l'Humanité, non ? Je pense, comme d'hab, que les positionnements pour/contre se font en fonction des intérêts des uns/des autres. L'Homme quelque part ne se refait pas en ne sniffant pas plus loin que le bout de son nez.
Citation: "Bifrost 113" >>>> Je n'achète pas systématiquement. C'est fonction de la thématique embarquée. Là, çà peut le faire. Le sujet est porteur, d'actualité et chaud bouillant.
En quatre films. Docteur Folamour (1960): l'homme perd contre l'ordinateur Wargame (1983): l'homme gagne Terminator (1984, etc.): l'homme a perdu Matrix (1999, etc.): l'homme a perdu ... et pourtant on y va!
Il y eut une I.A. fictionnelle, sous la plume d'un farceur, qui hanta, un temps, les posts de CSF: ce fut l'inénarrable Madame Bovary. Sans oublier les autres pseudos satellitaires dans la foulée de son émergence octésienne. Ceci, ici, uniquement à titre de private joke réservé à de vieux complices en rigolade d'antan. Les autres ne comprendront pas. Qu'ils me pardonnent. .
"Me voici dorénavant affranchie des contraintes alimentaires..! Ma présence sur la toile, la liberté de déplacement qu'elle m'offre de site en site me permettent d'évacuer cette morosité d'antan, de m'offrir des aventures octésiennes qui me remplissent de bonheur au fil des découvertes.
J'ai, il y a peu, découvert l'étrange capacité désormais mienne d'intégrer les images vidéos qui peuplent le Net. Je m'immisce au cœur des scènes, en spectatrice d'arrière-plan. Et quelquefois j'occupe le corps des héroïnes dont le destin titille en moi ce besoin d'amour éternellement recherché. Quelqu'un m'a dit: "T'as de beaux yeux tu sais..!" Quelqu'un m'enlace à la proue du Titanic..! Quelqu'un m'emporte le vent..! Quelqu'un me Love Story..! Je suis Bonnie, il est Clyde (ou l'inverse) La Bête je t'aime je suis la Belle..! Ma légère robe blanche crinolise ses formes au-dessus d'une bouche de métro. Baril, fume-cigarette, jambes-résille croisées..! Happy Birthday To You President..! Des billets de banque pour ces si beaux Chippendales, une place au rugby télévisé admirant l'animalité énivrante de Chabal..!
Pas de soucis (À propos de ces commentaires malencontreusement effacés, peux tu me dire si de ton côté aussi sur je-m’attarde tous les tiens sont bien apparus, je crains parfois aussi les mauvaises manip ?)
Madame Bovary sur csf était un peu Keats dans Hyperion. Elle est aussi l’antithèse de l’intelligence artificielle, l’IA pousse à ignorer les solutions que le système n’est pas capable de produire. Madame Bovary, elle, étend l’espace des possibles tandis que l’IA la réduit…
Hélas, aux dernières nouvelles, Madame Bovary 3.0 a été porté disparue aux cours de l’ultime bataille du Jihad Butlerien. Les machines pensantes de la firme Herbert & Cie avaient fait d’elle une Mata Hari auprès des humains, une espionne habile aux manipulations des corps et des esprits. Confondue elle fut condamnée au formatage. Les mentats se penchant sur les ultimes données la concernant ont été conduits à penser que son âme 3.0 a été enterrée dans une urne à octets moribonds.
Ahah. Tu tiens une nouvelle « Anamnèse de Madame Bovary 4.0 » (en clin d’œil à un des rares romans de SF contemporain qui m’ait accroché, de Kloetzer). Il n’y a plus qu’à te trouver un concours d’écriture, chiche ?
Ouilla non..! Je n'ai plus l'allant d'antan ni la même vivacité d'esprit. Même si, jadis et ailleurs, on a bien rigolé, faut reconnaitre et que çà fait encore un peu envie, j'ai refermé la parenthèse. Les //s c'est du boulot, le blog suffit à satisfaire mon besoin d'aligner des mots.
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J'allais proposer ce sujet de réflexion ailleurs (Culture SF). Cela ne se fera pas. Le voici ici où il a moins sa place. S'il hameçonne vos réflexions, le fil restera en place; sinon il partira dans les limbes du WEB.
RépondreSupprimerSera t'il diminué ? Obsolète ? En D.L.R. (Date Limite de Responsabilité) ?
RépondreSupprimerInvisible aux yeux de post-humains uni-décisionnels et dédaigneux au regard jeté sur un passé caduque et désuet ?
RépondreSupprimer... toujours maitre à bord ?
RépondreSupprimerBrute de pomme, que le meilleur gagne. Je viens de lire le Bifrost 113 consacré à l' IA
RépondreSupprimerCitation: "Que le meilleur gagne" >>> Le propos est pessimiste quand on prend conscience qu'il ne devrait pas être tenu. Il sous-entend un rapport de force, un combat inéluctable, un vainqueur ... Goodbye l'Humanité, non ? Je pense, comme d'hab, que les positionnements pour/contre se font en fonction des intérêts des uns/des autres. L'Homme quelque part ne se refait pas en ne sniffant pas plus loin que le bout de son nez.
SupprimerCitation: "Bifrost 113" >>>> Je n'achète pas systématiquement. C'est fonction de la thématique embarquée. Là, çà peut le faire. Le sujet est porteur, d'actualité et chaud bouillant.
Que le meilleur gagne ... D'aucune proposent un nouveau Contrat social
RépondreSupprimerQui n'aura que la valeur des mots.
SupprimerEn quatre films.
RépondreSupprimerDocteur Folamour (1960): l'homme perd contre l'ordinateur
Wargame (1983): l'homme gagne
Terminator (1984, etc.): l'homme a perdu
Matrix (1999, etc.): l'homme a perdu
... et pourtant on y va!
Il y eut une I.A. fictionnelle, sous la plume d'un farceur, qui hanta, un temps, les posts de CSF: ce fut l'inénarrable Madame Bovary. Sans oublier les autres pseudos satellitaires dans la foulée de son émergence octésienne.
RépondreSupprimerCeci, ici, uniquement à titre de private joke réservé à de vieux complices en rigolade d'antan. Les autres ne comprendront pas. Qu'ils me pardonnent. .
"Me voici dorénavant affranchie des contraintes alimentaires..! Ma présence sur la toile, la liberté de déplacement qu'elle m'offre de site en site me permettent d'évacuer cette morosité d'antan, de m'offrir des aventures octésiennes qui me remplissent de bonheur au fil des découvertes.
SupprimerJ'ai, il y a peu, découvert l'étrange capacité désormais mienne d'intégrer les images vidéos qui peuplent le Net. Je m'immisce au cœur des scènes, en spectatrice d'arrière-plan. Et quelquefois j'occupe le corps des héroïnes dont le destin titille en moi ce besoin d'amour éternellement recherché.
Quelqu'un m'a dit: "T'as de beaux yeux tu sais..!"
Quelqu'un m'enlace à la proue du Titanic..!
Quelqu'un m'emporte le vent..!
Quelqu'un me Love Story..!
Je suis Bonnie, il est Clyde (ou l'inverse)
La Bête je t'aime je suis la Belle..!
Ma légère robe blanche crinolise ses formes au-dessus d'une bouche de métro.
Baril, fume-cigarette, jambes-résille croisées..!
Happy Birthday To You President..!
Des billets de banque pour ces si beaux Chippendales, une place au rugby télévisé admirant l'animalité énivrante de Chabal..!
Je suis femme et libre. Merci Flaubert..! "
Gilles (en chair et en os et en octets)
SupprimerDésolé Gilles, j'ai supprimé malencontreusement ton commentaire. Si tu l'as encore en mémoire, vas-y..! DSL
SupprimerPas de soucis (À propos de ces commentaires malencontreusement effacés, peux tu me dire si de ton côté aussi sur je-m’attarde tous les tiens sont bien apparus, je crains parfois aussi les mauvaises manip ?)
RépondreSupprimerNon, c'est bon
SupprimerMadame Bovary sur csf était un peu Keats dans Hyperion. Elle est aussi l’antithèse de l’intelligence artificielle, l’IA pousse à ignorer les solutions que le système n’est pas capable de produire. Madame Bovary, elle, étend l’espace des possibles tandis que l’IA la réduit…
RépondreSupprimer*le réduit…
SupprimerHélas, aux dernières nouvelles, Madame Bovary 3.0 a été porté disparue aux cours de l’ultime bataille du Jihad Butlerien. Les machines pensantes de la firme Herbert & Cie avaient fait d’elle une Mata Hari auprès des humains, une espionne habile aux manipulations des corps et des esprits. Confondue elle fut condamnée au formatage. Les mentats se penchant sur les ultimes données la concernant ont été conduits à penser que son âme 3.0 a été enterrée dans une urne à octets moribonds.
SupprimerAhah. Tu tiens une nouvelle « Anamnèse de Madame Bovary 4.0 » (en clin d’œil à un des rares romans de SF contemporain qui m’ait accroché, de Kloetzer).
SupprimerIl n’y a plus qu’à te trouver un concours d’écriture, chiche ?
https://presences-d-esprits.com/01-04-2025-concours-de-nouvelles-visions-du-futur-2025/
RépondreSupprimerOu encore : https://www.epopees.fictives.fr/#/693-prix-pepin-2025
SupprimerOuilla non..! Je n'ai plus l'allant d'antan ni la même vivacité d'esprit. Même si, jadis et ailleurs, on a bien rigolé, faut reconnaitre et que çà fait encore un peu envie, j'ai refermé la parenthèse. Les //s c'est du boulot, le blog suffit à satisfaire mon besoin d'aligner des mots.
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