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vendredi 8 août 2025

... chez un voisin de palier..!

 https://soleilgreen.blogspot.com/2025/08/the-dark-side-of-moon.html

 

 

 

6 commentaires:

  1. Magnifique chronique où je sais reconnaitre la qualité des mots et des arguments.

    Avant l'explosion Internet j'étais friand de ce genre de recueils de critiques (surtout ceux de R&F) qui savaient mettre en mots ce qui plaisait à mes oreilles. L'art des claviers, d'un côté au service de l'écriture, de l'autre à celui de la musique, l'amalgame me plaisait. Le Web, par facilité d'accès, a mis fin, pour ma part, à l'achat de ce type de presse; parfois je me laisse néanmoins tenter; tout dépend du thème..

    J'ai un problème avec "Dark Side Of The Moon". L'album, pour ma part, était trop parfait, léché, sur-produit, loin de l'énergie spontanée native du rock. Il y perdait son âme des débuts post Barets. Sa perfection m'a d'emblée déçu. Elle a mis fin à une série d'opus plus offerts à l'impro psychédélique. Gilmour changeait d'âme tout en restant le même. La machine était en marche, ses mécanismes désormais trop huilés à mon goût, je n'y retrouvais plus mes petits. Un autre monde s'ouvrait et ce n'était plus le mien.

    Je sais, je suis gentiment à contre-courant mais c'est comme çà

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  2. oui, ce sont les allusions à 2001 qui m'ont plu. En parcourant ce hors-série je me suis rappelé que U2 me laissait - hormis le premier album - indifférent, que le succès de Nirvana avec le riff de son morceau vedette piqué au groupe Boston m'énervait, qu'Oasis saturait mes oreilles. Ils ont inclus Buena Vista Social Club, ok, mais pourquoi zapper les samples (Play) de Moby. Ils sont élogieux avec Maca (Chaos and Creation in the Backyard et III), l'article sur l'ephemere groupe The Traveling Wilburys avec Roy Orbison arrache les larmes tout comme celui pour le triple 33 de G Harrison, lui-meme qualifié de demi-dieu ou Amy Winehouse. Et pleins de découvertes, Tame Impala, Wilcox etc.

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  3. Sur la couvrante du mag, le LP qui m'a le plus marqué: le "Fun House" de "The Stooges". Je suis longtemps passé à côté de l'Iguane (j'y voyais un clone de la dinguerie d'Ozzy). D'un opus l'autre dans sa discographie solo je n'entrevoyais que des copiés-collés de morceau en morceau, tous semblables, tous pareils. Et puis, dans mes oreilles, le premier des Stooges et tout changea... Quel "@*+$£" de chef-d’œuvre d'énergie soufrée.

    Sur la couvrante itou, mes préférences: le Stones aux doigts qui collent, la banane Warholienne, le premier du Pelvis, le "Rubber Soul" de Lennon & Cie. Pour les autres, j'évasive car connaissant pas ou peu, sauf pour le bébé-trempette dans la piscine hameçon à dollars.

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  4. Bon j'ai dit au rédac chef - qui n'est plus Manoeuvre - qu'ils auraient pu inclure Electric Ladyland :)

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    1. Sûr, Electric Ladyland çà manque curieusement au rang des incontournables dans ce genre de compil; à moins que l'oubli ne soit délibéré. Y'a rien dans l'édito en ce sens ? Dans le genre: on a souhaité oublier certaines œuvres qui reviennent sans cesse ?
      Je me souviens d'un HS de R&F qui présentait côte à côte la chronique de l'époque de sortie et celle pour l'occasion x années plus tard. L'idée était top quand l'album ciblé s'était bonifié avec le temps, la critique passant de la destruction à la dithyrambie.

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