Le Soleil en tangente rase la Terre et dore les verticales des sous-bois..! En bande-son associée: Pink Floyd joue "The dark side of the trees".
Accueil
Retour à l'Accueil
lundi 2 juillet 2018
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Articles les plus consultés
-
Romans & Nouvelles SFFF Rock & Consorts Photos perso Textes et délires perso Docus BDs Divers Cinéma ma i ... -
GA-20 Dirty Deep Il y a peu, en bout d’un surf erratique sur le Web, je suis tombé sur un combo rock qui m’était, jusqu’alors, totalem... -
A titre expérimental (et histoire de déconner): un jeu, essayer de transformer le classique (et tristounet) Jeu de l'Oie en s... -
Melmat Cat Ed. (2024) Le Golem de Prague, aka « l’Informe » ou « l’Inachevé », est, parmi les plus anciens du genre, une figure hu... -
.JPG)
Réédition Hachette Collections Inc. (2013) D’avril à octobre 1964, « Tonnerre à l’Ouest », le second épisode de la saga BD « Lieuten... -
Réédition "Intégrale Le Masque" (1992) Depuis 1935, date de sa première parution, « Les disparus de Sa... -
Folio 3290 (Réédition de 2007) (VO 1998, Ed. Verdier Collection Jaune) Deux blogs ( Le Bouddha de Jade & La Convergence des Paral... -
.JPG)
Réédition Hachette Collections 2013 « Fort Navajo » est une BD western en grand format, prépubliée dès octobre 1963 dans « Pilote... -
Arles , en plein tourisme d'été, sous une canicule qui étouffe, assomme nuit et jour depuis deux mois. Sortez les bières...
Très belle photo.
RépondreSupprimerÇa me rappelle le bois derrière la petite ferme de mon grand-père...
À l'orée, les troncs frappés par la lumière rasante ; à l'intérieur, la dense obscurité lorsque le soleil monte dans le ciel, le sol entièrement recouvert (et acidifié) par les aiguilles.
Ne manque que les énormes cocons où croissent les chenilles voraces.
Merci..!
SupprimerCitation: "Ne manque que les énormes cocons où croissent les chenilles voraces."
>>>> Cà c'est ton penchant littéraire qui te pousse vers le Fantastique (avec un grand "F")
C'est surtout un souvenir d'enfance ^^
RépondreSupprimerEt qu'importe que ces pas si petites bêtes se métamorphosaient en de gracieux papillons, la survie du potager voisin ne commandait pas de pitié à leur égard.
C'est un peu comme les cailloux dans le potager. Même si ceux-ci vivent des existences immobiles d'extraterrestres pacifiques et rêveurs ils ne participent pas à la bonne terre bien grasse favorable à la pousse. Allusion, entre autres, à "Cristal qui songe" de "Théodore Sturgeon".
RépondreSupprimer