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dimanche 13 mai 2018
Chat Méchant
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Les plaquettes émail concernant les chiens sont monnaie courante, celles pour les chats rarissimes.
RépondreSupprimerÇa me fait penser à une anecdote que j’ai lu récemment au sujet du regretté Lucius Shepard (raconté par un éditeur de ses amis).
RépondreSupprimerIl a eu un chat, Shapes.
« Tout blanc. Et énorme. D’ordinaire, je n’aime pas les chats, mais il a gagné mon respect. », dit-il.
C’est qu’au retour de vacances, il retrouva la voisine qui devait le nourrir, en pleurs : elle avait laissé une porte de la maison de Lucius ouverte et son chien avait succombé à sa confrontation avec le matou...
Pauvre matou..!
RépondreSupprimerTu as toujours quelque chose sous la main et en mémoire concernant Shepard. C'est un plaisir à chaque fois. Tu sais mes réticences à le lire, ma longue retenue d'antan face à ses trop longues phrases, le pas enfin franchi grâce à toi en compagnie du magnifique "Sous des cieux étrangers" chez Le Belial. Ma trop longue chronique sur CSF. Je suis en train de la retravailler. A suivre. Et depuis j'ai trouvé "L'aube écarlate" en Présences chez Denoël. A suivre encore.
Oh, le matou s’en est tiré ; c’est le toutou qui est passé de vie à trépas...
RépondreSupprimerJe garde un rapport particulier à Lucius Shepard, nourri du regret de n’avoir pas osé discuter avec lui via le forum d’une de ses maisons d’édition. C’est une personnalité que j’aurais aimé connaître.
Allez, une autre anecdote (même source que la précédente) :
« Ursin », c’est le moins qui le décrivait le mieux dans ses dernières années.
Silhouette massive, barbe épaisse, il martelait d’un pas lourd le sol de son appartement.
Un jour qu’on sonnait à sa porte, il se retrouva face à un homme et une petite fille, voisins du dessous.
« Tu vois ? », dit l’homme à sa fille, «ce N’est PAS un monstre...» ^^
Oui, non seulement on te sent attaché à ce qu'il a écrit mais tout autant à ce qu'il était et pouvait apporter au cours d'une discussion. Il a semble t'il nourri ses romans des errances qu'il a vécu (je ne sens pas la biographie inventée à son sujet)et en ce sens, il a beaucoup à dire. Parait même qu'il aurait un rapport avec le rock..?
SupprimerQu'elle idée du papa de confronter les peurs de sa fille à la source..? Cà n'a pas du plaire à Shepard..! C'est marrant, je ne le vois pas en appartement, çà ne colle pas à son image.
Shepard avait beaucoup d'auto-dérision..?
Supprimer« Shepard avait beaucoup d'auto-dérision..? »
RépondreSupprimerJe ne peux pas vraiment dire... Il avait manifestement de l’humour et ne rechignait pas à l’autocritique alors je suppose que oui.
« Il a semble-t-il nourri ses romans des errances qu'il a vécu »
En effet. Il en parle notamment dans la préface du recueil Five autobiographies and a fiction.
« Parait même qu'il aurait un rapport avec le rock..? »
Avec le rock amateur, oui.
Ce n’est pas une veine que j’ai creusé dans ses éléments biographiques ; mais je le ferai.
Je dois avouer, non sans honte, que je me suis presque ignare dans le domaine musical (une pincée de rock 90s, un peu de musique de films, et pas beaucoup plus...)
J’admire avec quelle passion, quel lyrisme, tu parles du rock de la grande époque : on sent que tu as les tympans bien connectés au cœur !
Citation: "En effet. Il en parle notamment dans la préface du recueil Five autobiographies and a fiction."
SupprimerWikipedia fait état de bourlingues prolongées: dans l'ordre, l'Irlande, l'Europe, l'Afrique du nord, l'Asie, l'Allemagne, Le Caire, l'Espagne, les USA, Le Sud-Est Asiatique et l'Amérique centrale, en particulier le Honduras. Les trois derniers comme leitmotivs à ses écrans et nouvelles.
Citation: " on sent que tu as les tympans bien connectés au cœur !"
>>> Oui, au delà de ma passion pour la SF, j'en ai une autre tout aussi bien accrochée à ma vie: le rock sous toutes ses formes. Les deux ont pris naissance dans mon adolescence et j'ai bel et bien été mordu par le Floyd et Sturgeon, Led Zep et Simak, Deep Purple et Pierre Pelot et consorts. Francis Zegut dans son émission sur RTL Wango Tango consacrée au hard rock disait des oreilles que c'étaient "les cages à miel". Appliquée au rock cette expression m'enchante.