UNIVERS PARALLÈLES:
"Le monde y est comme un arbre touffu dont chaque branche est une histoire, différente de toutes les autres, dont la différence réside dans le fait qu'elle a quitté, à la suite de l'altération d'un événement souvent minime, le tronc principal de l'histoire"
Pierre Versins, Encyclopédie de l'Utopie et de la Science-fiction
ça rejoint ce qu'on disait pour " la part de l'autre", et les destins qu'on peut avoir en fonction des choix faits...
RépondreSupprimerDenis Guiot: "En science-fiction, comme partout ailleurs, la fonction crée l'organe. C'est-à-dire que le monde ordinaire, réaliste, ne suffisant pas à contenir l'imagination débridée de l'écrivain de S-F, celui-ci en a inventé d'autres, simultanés, intercalés, imbriqués, décalés, univers-gigognes ou arborescents, mais tous réunis sous le qualificatif de parallèles, car superposés au nôtre, et donc amenés à le rencontrer puisque, selon la géométrie non-euclidienne de Lobatchevski, deux parallèles se coupent."
SupprimerL'idée surprenante de deux parallèles se coupant se retrouve aussi dans le titre d'un recueil de nouvelles signées Christine Renard et Claude Cheinisse: "A la croisée des parallèles". C'est cette idée d'impossibilité (et pourtant..!) que j'ai souhaité appliquer au présent blog: point de rencontre de plusieurs passions personnelles à priori sans passerelle de l'une à l'autre...(et pourtant..!)
SupprimerLe meilleur titre SF applicable aux univers parallèles me semble être "Les soldats de la mer" de deux auteurs français (eux aussi mariés, comme quoi la notion de deux vies parallèles matrimoniales inspire) Yves et Ada Remy.
RépondreSupprimerUn vrai chef d'oeuvre..!
"chaque branche est une histoire"
RépondreSupprimerDes histoires bien tordues,
à en juger par l'arbre pris en photo... ^^
Pour des univers (presque) parallèles, certains cactus sont plus appropriés.Par exemple, celui visible à cette adresse :
https://cactus.ooreka.fr/comprendre/cactus-geant
Tout à fait.Les cactus filiformes traduisent mieux les chemins côte à côte, comme mains dans la main, mais différents.
SupprimerAussi mon cliché n'est t'il plutôt pas à associer avec les uchronies..? Les deux choses sont si voisinent que quelques fois on s'y perd.
Chaque nouvelle ramification est tordue comme hésitante sur le destin (autre) à suivre.Les pommes de pin semblent traduire de nouveaux univers en promesses de repousse ailleurs.